Formation présentielle, accueil 8h30, début 9h et fin à 17h30
OBJECTIFS GENERAUX :
Face à une cervicalgie, ne pas méconnaitre une lésion significative du rachis cervical tout en réduisant l’exposition non justifiée à une imagerie lorsque le risque de telles lésions est faible
OBJECTIFS PEDAGOGIQUES :
Identifier
Médecin en exercice
En France : - environ 2/3 de la population française serait concernée dans sa vie par un épisode douloureux du cou. La prévalence est généralement plus élevée chez les femmes, autour de 35-49 ans.
En milieu professionnel, les cervicalgies sont un des quatre plus fréquents troubles musculo-squelettiques (TMS) avec un impact sur l’absentéisme, les changements de travail et le handicap.
La plupart des épisodes aigus se résolvent avec ou sans traitement en 2 mois, mais environ 50 % des personnes continuent d’avoir mal ou d’avoir de nouveaux épisodes de cervicalgie un an après le premier épisode
Le rôle de l’imagerie dans le diagnostic des douleurs cervicales non traumatiques n’a été que très peu étudié. Les guides et recommandations s’accordent sur le fait que l’imagerie est indiquée seulement en cas de résistance de la douleur à un traitement conservateur bien conduit pendant plus de 4 à 6 semaines et en l’absence de drapeau rouge .
La finalité de cette action est de ne pas méconnaitre une lésion significative du rachis cervical tout en réduisant l’exposition non justifiée à une imagerie lorsque le risque de telles lésions est faible par l’application.
Cette action s’appuiera sur les recommandations de bonnes pratiques de la HAS du 19 nov. 2020.
Formation cognitive : Ateliers et plénières 7 heures