Addiction aux substances illicites en classe virtuelle

classe virtuelle horaires 14H00-17H00

Audit clinique 3heures à distance  ( 1heure avant et 2 heures après la classe virtuelle) contituant une évaluation des pratiques professionnelles  EPP

La formation en détail

FORMATION AGASTYA

Objectifs

OBJECTIFS GENERAUX :

  • Comprendre et analyser les mécanismes de l’addiction aux substances illicites MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, et/ou cocaïne
  • Etre en capacité d’accompagner un patient présentant une addiction aux substances illicites MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, cocaïne et chemsex

OBJECTIFS EPP AUDIT

  • Evaluer sa capacité d’accompagner vers l’arrêt ou la Réduction Des Risques et des Dommages (RDRD un patient présentant une addiction aux substances illicites MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, cocaïne et chemsex.

OBJECTIFS PEDAGOGIQUES ET OPERATIONNELS

  • Déterminer les effets indésirables et toxicité de l’usage de ces substances ·         
  • Systématiser le repérage en pratique clinique chez l’adolescent(e);
  • Identifier les parcours de soins et structures d’assistance ·         
  • Définir l’accompagnement vers l’arrêt ou la Réduction Des Risques et des Dommages (RDRD).

Prérequis

Médecins en exercice

Contenu

La loi n°2016-41 de modernisation de notre système de santé du 26 janvier 2016 conforte la politique de réduction des risques et des dommages, sécurisent ses intervenants et l’étendent au champ des substances psychoactives licites

Les addictions peuvent être dirigées vers des substances psychoactives et les produits peuvent être licites (alcool, médicaments, etc.) ou illicites (cannabis, cocaïne, MDMA /Ectasy.).

 Il existe souvent des poly-addictions [1] Les risques et les dommages liés aux pratiques addictives sont multiples, ils sont aussi bien sanitaires que psychologiques et/ou sociaux. Les risques concernent aussi bien la personne que son entourage. 

Il y a des risques à court terme et d’autres à plus long terme, des risques liés à différents facteurs.

 Par ailleurs, certaines pratiques sont vectrices de maladies infectieuses (VIH, hépatites, etc.) notamment dans la pratique de Chemsex, pratique de plus en plus répandue. Pour d’autres produits, et notamment les nouveaux produits de synthèse (NPS), le rythme soutenu d’arrivée sur le marché de nouvelles molécules, la variation des appellations commerciales et les incertitudes quant à la composition exacte des produits rendent compliquée l’évaluation des risques immédiats et à plus long terme.

 Aborder la question des usages de substances psychoactives ne peut se faire que dans le cadre d’une alliance thérapeutique développée entre le professionnel de santé et son patient. Cela implique que le soignant se sente suffisamment à l’aise avec cette question, et que le patient se sente suffisamment prêt et en confiance pour évoquer le sujet. Poser la question des usages de MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, ou/et decocaïne, dans le cadre d’un suivi d’un adolescent peut se faire : Systématiquement pour tous les nouveaux patients quand ils viennent pour la première fois en consultation ; Périodiquement au fil des ans auprès des patients suivis de manière régulière. Les effets somatiques ou psychosociaux de ces substances peuvent être une porte d’entrée à la discussion

Aborder les consommations de ces substances psychoactives nécessite de s’accorder sur le « timing » de la personne, qui n’est pas toujours prête à en parler immédiatement et de manière approfondie.

Pour faciliter le repérage, des questionnaires standardisés et scientifiquement validés sont à disposition des professionnels de santé et doivent être connus par ceux-ci

Pédagogie

Classe virtuelle synchrone de 3 heures ( obligatoire)

et un audit clinique de 1 heure avant et 2  heures après constituant une évaluation des pratiques professionnelle ( EPP)

Type public

Médecins généralistes et pédaitres

Prochaines sessions

Aucune session disponible.